Retour d’un ancien Alumni - Pierre-Jean Abasq

Changer de voie n’est jamais simple. Surtout quand on quitte un poste dans une belle startup pour se lancer dans l’inconnu. C’est pourtant ce qu’a fait Pierre-Jean Abasq, ancien customer support manager chez PayFit, qui a choisi de se former au No-Code avec l’École Cube.

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En quelques mois, il est passé du support client à l’automatisation d’entreprise. Une reconversion réfléchie, portée par l’envie de construire des solutions concrètes et utiles.

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Ce témoignage raconte comment la formation Product Builder No-Code a joué un rôle clé dans ce virage professionnel. Pas comme une formule magique, mais comme un vrai tremplin pour acquérir des compétences techniques, comprendre les outils et trouver sa voie dans un secteur en plein essor.

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Du service client à la culture produit : un parcours tourné vers la construction

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Avant de se lancer dans le No-Code, Pierre-Jean Abasq a passé plusieurs années au cœur d’une startup française : PayFit. Il y a d’abord accompagné les chefs d’entreprise dans la gestion de leurs paies et de leurs ressources humaines, en tant que Customer Support Manager. Une expérience formatrice, où il a appris à écouter, comprendre et résoudre des problèmes concrets.

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Au fil du temps, il a rejoint l’équipe qualité pour déployer des programmes d’audit et coacher ses collègues sur la relation client. Ce poste lui a donné une vraie culture produit : savoir comment un outil digital se construit, s’améliore et s’adapte aux besoins réels des utilisateurs.

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C’est là qu’il a pris conscience d’une chose : ce qu’il aimait vraiment, c’était créer. Concevoir des solutions, simplifier des processus, bâtir quelque chose de ses mains. Une envie qui le conduira, quelques années plus tard, à découvrir le No-Code et à franchir les portes de l’École Cube.

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La découverte du No-Code et la rencontre avec l’École Cube

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Quand il quitte PayFit à la suite d’un plan de sauvegarde de l’emploi, Pierre-Jean voit cette période comme une chance de se réinventer. Depuis longtemps, il rêvait d’apprendre à coder, à créer ses propres outils. Mais en échangeant avec des collègues de l’équipe produit, il comprend que le futur ne se limite plus aux lignes de code. Ce qui compte aujourd’hui, c’est la capacité à apporter des solutions concrètes aux problèmes des entreprises.

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C’est à ce moment qu’il entend parler du No-Code. Une approche plus visuelle, plus rapide, et surtout plus accessible pour transformer une idée en produit digital. Intrigué, il explore les outils comme Make ou Airtable, puis part à la recherche d’une formation sérieuse, structurée et reconnue.

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Il voulait une expérience immersive, pas juste des vidéos à suivre le soir. Il cherchait aussi une formation éligible au financement pour rendre son projet réaliste. C’est en croisant ces critères qu’il tombe sur l’École Cube. Et dès les premiers échanges, il sait qu’il a trouvé le bon cadre : une école humaine, exigeante et tournée vers l’avenir.

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Un bootcamp intense et une communauté soudée

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Neuf semaines de formation, un mois de révision et des journées bien remplies : le bootcamp No-Code de l’École Cube ne laisse pas le temps de s’ennuyer. Chaque matin, Pierre-Jean retrouvait sa promo pour avancer sur les modules, expérimenter les outils et relever des challenges concrets. Et chaque fin de journée, un point collectif avec le mentor permettait d’échanger, poser ses questions et garder le cap.

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Ce qu’il retient surtout, c’est l’esprit de groupe. Dans sa promo, il y avait un ancien développeur, une personne de 59 ans qui redécouvrait l’informatique, … Des profils très variés réunis par une même envie : apprendre à créer. Cette diversité a rendu l’expérience riche et stimulante.

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Aujourd’hui encore, le groupe WhatsApp est actif. Les anciens y partagent des retours d’expérience de leur nouvelle aventure professionnelle. Pour Pierre-Jean, cette communauté est un vrai atout : on ne sort pas du bootcamp seul, on rejoint un réseau vivant, où chacun progresse à son rythme.

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De la formation au freelancing : se lancer dans l’automatisation

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À la fin du bootcamp, Pierre-Jean décide de se lancer en freelance. Sa spécialisation ? L’automatisation. Grâce aux outils Make et Airtable, il aide les petites entreprises à gagner du temps en supprimant les tâches répétitives. Son objectif est simple : libérer les TPE et PME des process manuels qui les ralentissent au quotidien.

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Pour lui, tout commence par une phase d’écoute. Avant d’automatiser, il analyse les processus internes, repère les incohérences et propose des pistes d’amélioration. Ce regard global, il le doit à son parcours en business et en support client. Là où beaucoup abordent le No-Code sous l’angle technique, lui garde une vision centrée sur le besoin de l’entreprise.

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Cette double compétence — compréhension métier et savoir-faire technique — est aujourd’hui son vrai atout. Elle lui permet de parler le même langage que ses clients, d’être force de proposition et de créer des solutions qui font vraiment la différence.

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Basé à Barcelone, Pierre-Jean a accompagné plusieurs entreprises et continue à développer son activité ; entre prospection, formation continue et nouvelles missions. Et depuis peu, il a rejoint l’équipe pédagogique de l’École Cube en tant que coach. Il accompagne désormais les apprenants sur différents outils comme Make, Bubble ou encore l’IA générative. Le tout, avec un seul objectif : les aider à aller jusqu’au bout de leur formation.

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L’après Cube : entre réalisme et enthousiasme

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Comme beaucoup après une reconversion, Pierre-Jean a connu la phase d’incertitude. Trouver ses premiers clients, se faire connaître, comprendre comment se vendre : rien n’est instantané. L’École Cube lui a donné les bases techniques et la méthode, mais la réussite passe aussi par la persévérance, la curiosité et l’envie de continuer à apprendre.

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Sur le marché, les métiers du No-Code se cherchent encore. Les offres d’emploi spécifiques au rôle de Product Builder sont rares. À la place, on retrouve des postes de chefs de produit digital ou intégrateur IA. Il faut apprendre à bifurquer pour pouvoir se vendre. 

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Mais si le salariat est encore peu mature, la demande pour les indépendants explose. De plus en plus d’entreprises externalisent leurs besoins d’automatisation ou de développement web, et c’est là que des profils comme celui de Pierre-Jean trouvent leur place.

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Depuis son passage, l’École Cube a d’ailleurs renforcé l’accompagnement à l’employabilité, avec une personne dédiée pour aider les alumni à valoriser leurs compétences et à se positionner sur le marché. Une évolution naturelle, qui prolonge l’esprit du bootcamp : former, mais aussi guider vers la réussite professionnelle.

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