Growth Marketer - Fiche métier

Et si la croissance d’une entreprise ne reposait pas sur un coup de chance, mais sur une méthode simple et testée au quotidien ? C’est exactement ce que fait un Growth Marketer.

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Il cherche à comprendre ce qui fait avancer une activité, puis à l’améliorer pas à pas, en s’appuyant sur les données et non sur l’intuition. Pas de campagnes interminables ni de plans figés. Il teste, il mesure et il adapte.

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Et cette approche séduit autant les start-ups que les entreprises plus installées. Découvrez le métier de Growth Marketer, son rôle, ses missions, son salaire, …

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Qu’est-ce qu’un Growth Marketer ? 

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Le Growth marketer cherche à faire grandir une entreprise en s’appuyant sur des tests rapides et des décisions guidées par les données. 

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Son objectif ? Identifier ce qui accélère vraiment la croissance et concentrer les efforts dessus. Il ne lance pas une action au hasard. Il observe, teste, mesure, puis ajuste. 

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Cette façon de travailler tranche avec le marketing traditionnel, plus lent et moins orienté résultats immédiats.

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À la place, le Growth Marketer analyse en détail le parcours utilisateur : 

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• Comment attirer plus de visiteurs ?

• Comment les transformer en clients ?

• Comment les retenir ? 

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Cette vision globale aide les entreprises à avancer plus vite et à repérer les leviers les plus utiles. 

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Ce n’est donc pas un simple marketeur, mais un profil hybride qui relie stratégie, technique et créativité pour obtenir des résultats concrets.

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Quelles sont les missions du Growth Marketer ? 

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Le Growth Marketer avance avec une idée simple : repérer ce qui fait vraiment progresser une entreprise et concentrer les efforts dessus.

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Son travail repose sur une série de missions qui couvrent tout le parcours utilisateur :

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• Analyser les données pour repérer les tendances, comprendre le comportement des utilisateurs et identifier les points qui bloquent la croissance.

• Tester de nouveaux leviers d’acquisition (SEO, publicité, réseaux sociaux, partenariats…) et ajuster les actions selon les résultats.

• Optimiser la conversion en simplifiant le parcours utilisateur, en réduisant les frictions et en testant différentes versions de pages ou de messages.

• Améliorer la rétention, car un client qui reste actif crée plus de valeur qu’un client ponctuel.

• Mettre en place des automatisations pour gagner du temps, personnaliser les actions et suivre les performances en continu.

• Explorer et utiliser des outils modernes, dont l’IA, pour analyser plus vite, produire du contenu ou mieux cibler les actions marketing.

• Travailler avec les équipes produit, marketing et sales, afin d’avoir une vision globale et cohérente des actions menées.

• Documenter les tests, garder une trace des résultats et construire une base de bonnes pratiques utile pour l’entreprise.
  
  

Ces missions soutiennent un même objectif : avancer par petites étapes, comprendre ce qui fonctionne vraiment et construire une croissance durable, sans perdre de temps sur des actions inutiles.

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Quelles sont les compétences d’un Growth Marketer ? 

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Mêlant marketing, analyse et création, le Growth Marketer a besoin d’un regard global et d’une vraie facilité à passer d’un sujet à un autre. Ce qui implique une combinaison de compétences techniques et personnelles. 

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Côté hard skills, voici les indispensables : 

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• Analyse de données : lire un tableau de bord, repérer une tendance, comprendre un comportement.

• Maîtrise des leviers d’acquisition : SEO, publicité, emailing, réseaux sociaux, partenariats… et savoir comment les activer selon l’objectif.

• Conception et suivi de tests A/B pour comparer des versions et améliorer la conversion.

• Connaissance du parcours utilisateur pour identifier les points de friction et optimiser chaque étape.

• Automatisation pour réduire les tâches répétitives et fluidifier les process.

• Utilisation des outils marketing, dont les solutions IA, pour analyser plus vite, produire du contenu et tester de nouvelles approches.

• Notions en UX et en copywriting pour créer des messages plus clairs et plus engageants.

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À un niveau plus personnel, le Growth Marketeur doit aussi se montrer curieux, créatif, rigoureux, flexible et bon communiquant. 

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Quel est le salaire du Growth Marketer ? 

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Le salaire d’un Growth Marketer dépend surtout de l’expérience et du type d’entreprise. Cela dit, certaines tendances se dessinent.

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Un profil junior démarre en général autour de 38 000 € à 45 000 € par an, selon Glassdoor. C’est le niveau où l’on teste, où l’on apprend à gérer des campagnes, et où l’on commence à s’approprier les outils d’analyse. 

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Quand l’expérience augmente, la rémunération progresse aussi. La moyenne observée tourne autour de 47 000 € par an, un montant qui correspond à un rôle plus autonome, capable de gérer plusieurs canaux et de piloter les résultats.

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Les profils confirmés, eux, dépassent facilement les 55 000 €, et peuvent monter jusqu’à 60 000 € ou 70 000 € selon la structure. Certaines scale-ups ou entreprises bien installées proposent même davantage si le poste implique un pilotage global de la croissance. 

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Mais attention, la localisation joue aussi. Les salaires parisiens sont plus hauts que la moyenne. Et si vous vous expatriez, les différences peuvent être colossales. 

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Quelles sont les perspectives d’avenir du Growth Marketer ? 

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Le métier de Growth Marketer a encore de belles années devant lui. Les entreprises veulent avancer vite, comprendre leurs données et repérer ce qui fait progresser leur activité. Et c’est exactement ce que fait un profil growth.

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Avec l’arrivée de l’IA, le rôle devient même encore plus stratégique. Les outils prennent en charge une partie des tâches répétitives, ce qui laisse plus de temps pour analyser, tester et prendre de meilleures décisions.

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Le growth évolue aussi vers plus de spécialisation. Certains profils se concentrent sur l’acquisition, d’autres sur la rétention ou l’optimisation produit. Cette diversité ouvre de nouvelles portes et permet de construire une carrière plus ciblée.

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Et pour ceux qui aiment piloter des stratégies globales, des postes comme Head of Growth deviennent accessibles avec l’expérience.

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Ce métier crée aussi des passerelles vers d’autres fonctions. Beaucoup évoluent vers le product management, le data marketing ou des rôles transverses au sein d’équipes pluridisciplinaires. Les entreprises recherchent des profils capables de connecter les données, le produit et le marketing. 

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Aujourd’hui, le growth marketing n’est plus une approche réservée aux start-ups. C’est une manière de travailler qui s’installe dans toutes les organisations. 

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Résultat ? Les opportunités se multiplient, et la demande reste forte pour les profils à l’aise avec l’analyse, l’expérimentation et les outils modernes. Un terrain fertile pour celles et ceux qui aiment avancer vite et apprendre en continu.

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Quelle formation pour devenir Growth Marketer ? 

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Les écoles de commerce, les licences en marketing ou les masters spécialisés en communication et marketing digital donnent une base solide : compréhension du marché, notions de stratégie, introduction aux outils d’acquisition et premiers projets encadrés.

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Ces formations aident à développer une culture marketing globale, utile pour comprendre les enjeux d’une entreprise et structurer une approche. Elles restent un socle intéressant, même si elles manquent parfois de pratique sur les tests, l’analyse avancée ou l’automatisation, qui sont au cœur du Growth.

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C’est pour cela que des formations spécialisées se développent. Comme celle de l’École Cube s’inscrit dans cette approche pratique. Elle aide à passer de la théorie à l’action, avec un apprentissage progressif et orienté résultats.

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